Sur le plan somatisation, il s’agit vraisemblablement d’une cristallisation de peurs, en relation avec ses vieux archétypes, une mystification.
L’on peut faire des calculs rénaux avec ou sans colique néphrétique. Tant que le calcul ne bouge pas, il n’y a généralement pas trop de problème, mis à part une inflammation locale éventuelle. Le problème devient dramatique si le calcul bouge, pour la bonne raison que la cristallisation calcique peut ressembler à un petit oursin, surtout dans le cas d’un calcul urique. La douleur de la colique néphrétique est connue pour être l’une des plus intolérables qui soient. Les victimes de ces troubles sont blêmes, en état de choc, avec des sueurs froides, des nausées, et peuvent faire des tentatives de suicide.
La première chose à faire est de se tremper dans de l’eau très chaude jusqu’à la taille (si l’on a une baignoire). Le soulagement est immédiat.
Ceci laisse du temps pour l’arrivée d’un médecin qui devra faire immédiatement une injection de SPASFON®, par exemple : c’est un vasodilatateur puissant.
3 sortes de calculs:
- 1. Calculs uriques , en terrain pH acide : 30 % des cas.
Il faut arrêter momentanément la viande et la réduire ensuite. Proscrire les charcuteries et abats. Éviter les aliments acides.
- 2. Calculs phosphatiques , en terrain pH alcalin : 20 % des cas.
Proscrire les eaux gazeuses. Régime sec de la goutte.
- 3. Calculs oxaliques , en terrain pH variable : 50 % des cas.
Éviter les aliments riches en calcium (fromage), et par ailleurs cacao, chocolat, café, thé, épinard, oseille, rhubarbe, tomate, figue sèche, concombre, prune.
Si vous avez des questions, je suis disponible avec plaisir.
Belle journée à vous !
Baptiste Thérapeute (Énergéticien, Naturopathie Holistique & Tarot de Marseille)